This course aims at teaching level 5 students from the Department of French Language and Literature an English novel or a short story or any selected literary works from the 19th century, besides practicing the English language itself through different grammar and structure exercises.
- Enseignant: Neveen Al Saeed
دراسة الخصائص الأدبية في القرنين الثامن عشر والتاسع عشر، والاختلافات بين التيارات الفكرية، وذلك من خلال التعريف بالمدارس الأدبية المختلفة والتعريف بأهم كتاب هذه الفترة وأفكارهم وأعمالهم.
- Enseignant: mai mohamed
Qu’est ce que la civilisation ?
C’est le fait de se civiliser, c.a.d. d’évoluer, de progresser. On appelle également civilisation l’ensemble des caractères communs aux vastes sociétés les plus évoluées ou l’ensemble des acquisitions des sociétés humaines. Elle s’oppose donc à barbarie. J.Rostand dira : « Tout ce que l’homme a ajouté à l’Homme, c’est ce que nous appelons en bloc la civilisation ». On dit les bienfaits de la civilisation mais aussi les méfaits de la civilisation - pensons à la bombe atomique, nucléaire...- d’où la complexité du concept qui pourrait, paradoxalement, se trouver associé à barbarie.
Mais c’est également l’ensemble de phénomènes sociaux (religieux, moraux, esthétiques, scientifiques, techniques) communs à une grande société ou à un groupe de sociétés (ex: civilisation chinoise, égyptienne ; les civilisations précolombiennes d’Amérique...). Telle est la notion qui nous intéresse et que nous allons étudier : problèmes religieux et sociaux, mœurs et coutumes, arts, modes et costumes, découvertes scientifiques et techniques, autant de phénomènes qui relèvent du domaine de la civilisation et qui se détachent nettement sur une toile de fond historique. Le support historique, ou l’enchaînement des événements, est donc essentiel pour la compréhension de la civilisation d’une société à une époque donnée.
C’est le fait de se civiliser, c.a.d. d’évoluer, de progresser. On appelle également civilisation l’ensemble des caractères communs aux vastes sociétés les plus évoluées ou l’ensemble des acquisitions des sociétés humaines. Elle s’oppose donc à barbarie. J.Rostand dira : « Tout ce que l’homme a ajouté à l’Homme, c’est ce que nous appelons en bloc la civilisation ». On dit les bienfaits de la civilisation mais aussi les méfaits de la civilisation - pensons à la bombe atomique, nucléaire...- d’où la complexité du concept qui pourrait, paradoxalement, se trouver associé à barbarie.
Mais c’est également l’ensemble de phénomènes sociaux (religieux, moraux, esthétiques, scientifiques, techniques) communs à une grande société ou à un groupe de sociétés (ex: civilisation chinoise, égyptienne ; les civilisations précolombiennes d’Amérique...). Telle est la notion qui nous intéresse et que nous allons étudier : problèmes religieux et sociaux, mœurs et coutumes, arts, modes et costumes, découvertes scientifiques et techniques, autant de phénomènes qui relèvent du domaine de la civilisation et qui se détachent nettement sur une toile de fond historique. Le support historique, ou l’enchaînement des événements, est donc essentiel pour la compréhension de la civilisation d’une société à une époque donnée.
- Enseignant: Maha Elewa
- Enseignant: Nadia Shama
Qu’est ce que la Rhétorique ?
La rhétorique est une science : science acquise ou savoir-faire inné, “techné“ ou véritable génie… Tout le monde utilise la rhétorique délibérément ou instinctivement… La rhétorique a, entre autres, été définie comme « l’art de persuader à travers le discours ». Ce cours vise donc à initier l’étudiant à la rhétorique et l’argumentation en tant qu’outils primordiaux et indispensables pour la bonne compréhension de la langue et des textes argumentatifs. La rhétorique d’Aristote constitue la base obligatoire de référence de toutes les écoles de rhétorique et d’argumentation moderne : ce cours se fondera donc sur le système aristotélicien de rhétorique.
La rhétorique est une science : science acquise ou savoir-faire inné, “techné“ ou véritable génie… Tout le monde utilise la rhétorique délibérément ou instinctivement… La rhétorique a, entre autres, été définie comme « l’art de persuader à travers le discours ». Ce cours vise donc à initier l’étudiant à la rhétorique et l’argumentation en tant qu’outils primordiaux et indispensables pour la bonne compréhension de la langue et des textes argumentatifs. La rhétorique d’Aristote constitue la base obligatoire de référence de toutes les écoles de rhétorique et d’argumentation moderne : ce cours se fondera donc sur le système aristotélicien de rhétorique.
- Enseignant: Maha Elewa
Etapes de la traduction
I- Lire le texte de départ intégralement une première fois pour en saisir le sens.
II- Ne pas traduire mot à mot, c'est le sens de la phrase qui doit être restitué, pas la traduction mot à mot. Le français et l'arabe sont construits de façons différentes et la traduction mot à mot donne des phrases mal construites ou même des contresens. Le mieux est de comprendre la phrase et de la retranscrire comme on l'écrirait soi-même.
III- Relire pour vérifier qu'aucune phrase n'a été oubliée. Une dernière vérification s'impose. Pour être certain de n'avoir omis aucune phrase, il faut reprendre tout le texte paragraphe par paragraphe, en comparant sa correction et le texte original.
IV- Relire pour vérifier que les phrases ont un sens. Une fois le texte traduit, le relire dans son entier pour vérifier que toutes les phrases sont compréhensibles et cohérentes entre elles.
V- Relire en se concentrant sur les fautes d'orthographe, sur les règles de grammaire et de typographie.
VI- Ne pas hésiter à faire preuve de sens critique. Le texte contient-il des répétitions? Il faut corriger et trouver des synonymes. Plus grave, le texte contient des incohérences. Souvent peu importantes, elles échappent en première lecture. L'adaptation est une étape capitale. Il est en effet impossible de sortir du texte source - arabe par exemple - et adopter du premier coup des phrases réellement françaises. Inconsciemment, on reste proche du texte original, alors que si on avait voulu exprimer la même idée en français, on l'aurait dit tout autrement. Il faut sortir de cette logique pour donner à sa traduction un ton réellement français et la rendre plus correcte d'un point de vue syntaxique.
VII- Reprendre chaque phrase en se demandant : Cette phrase veut - elle dire quelque chose? Est-ce que je l'aurais dite comme ça, moi ? N'y a- t -il pas une manière moins lourde d'exprimer cette idée ?
VIII- Adapter la construction de la phrase :
a- L’emprunt : garder les termes du texte original.
b- La transposition : changer la catégorie grammaticale d’un mot ou d’un groupe de mots.
c- L’étoffement : ajouter des éléments sous-entendus. Il peut s'agir d'un verbe ou de certains termes de liaisons, plus fréquents en français qu'en arabe.
d- L'explicitation : préciser ce qui était implicite.
e- L'allégement : retirer un ou plusieurs termes inutiles.
f- La coloration : traduire par un terme plus habituel ou précis en langue cible alors qu’il paraît trop simple en langue source.
g- L'adaptation : tenir compte de la différence entre les réalités de chaque société pour exprimer le même effet.
h- Le redécoupage : couper une phrase qui serait trop longue en arabe ou en français.
i- L'équivalence : trouver le proverbe ou l'expression correspondante en arabe ou en français.
IX- Respecter les règles de typographie arabes et françaises : la ponctuation, les guillemets, les points, les virgules, les espaces (fin de phrase, incises…), les chiffres, les séparateurs de chiffres, les dates, les majuscules, les sigles et acronymes, les capitales (sigles, titres d'œuvres, adjectifs, générique, civilité), les noms propres et titres (noms de famille, Dr...)
I- Lire le texte de départ intégralement une première fois pour en saisir le sens.
II- Ne pas traduire mot à mot, c'est le sens de la phrase qui doit être restitué, pas la traduction mot à mot. Le français et l'arabe sont construits de façons différentes et la traduction mot à mot donne des phrases mal construites ou même des contresens. Le mieux est de comprendre la phrase et de la retranscrire comme on l'écrirait soi-même.
III- Relire pour vérifier qu'aucune phrase n'a été oubliée. Une dernière vérification s'impose. Pour être certain de n'avoir omis aucune phrase, il faut reprendre tout le texte paragraphe par paragraphe, en comparant sa correction et le texte original.
IV- Relire pour vérifier que les phrases ont un sens. Une fois le texte traduit, le relire dans son entier pour vérifier que toutes les phrases sont compréhensibles et cohérentes entre elles.
V- Relire en se concentrant sur les fautes d'orthographe, sur les règles de grammaire et de typographie.
VI- Ne pas hésiter à faire preuve de sens critique. Le texte contient-il des répétitions? Il faut corriger et trouver des synonymes. Plus grave, le texte contient des incohérences. Souvent peu importantes, elles échappent en première lecture. L'adaptation est une étape capitale. Il est en effet impossible de sortir du texte source - arabe par exemple - et adopter du premier coup des phrases réellement françaises. Inconsciemment, on reste proche du texte original, alors que si on avait voulu exprimer la même idée en français, on l'aurait dit tout autrement. Il faut sortir de cette logique pour donner à sa traduction un ton réellement français et la rendre plus correcte d'un point de vue syntaxique.
VII- Reprendre chaque phrase en se demandant : Cette phrase veut - elle dire quelque chose? Est-ce que je l'aurais dite comme ça, moi ? N'y a- t -il pas une manière moins lourde d'exprimer cette idée ?
VIII- Adapter la construction de la phrase :
a- L’emprunt : garder les termes du texte original.
b- La transposition : changer la catégorie grammaticale d’un mot ou d’un groupe de mots.
c- L’étoffement : ajouter des éléments sous-entendus. Il peut s'agir d'un verbe ou de certains termes de liaisons, plus fréquents en français qu'en arabe.
d- L'explicitation : préciser ce qui était implicite.
e- L'allégement : retirer un ou plusieurs termes inutiles.
f- La coloration : traduire par un terme plus habituel ou précis en langue cible alors qu’il paraît trop simple en langue source.
g- L'adaptation : tenir compte de la différence entre les réalités de chaque société pour exprimer le même effet.
h- Le redécoupage : couper une phrase qui serait trop longue en arabe ou en français.
i- L'équivalence : trouver le proverbe ou l'expression correspondante en arabe ou en français.
IX- Respecter les règles de typographie arabes et françaises : la ponctuation, les guillemets, les points, les virgules, les espaces (fin de phrase, incises…), les chiffres, les séparateurs de chiffres, les dates, les majuscules, les sigles et acronymes, les capitales (sigles, titres d'œuvres, adjectifs, générique, civilité), les noms propres et titres (noms de famille, Dr...)
- Enseignant: Dr. Randa Gomaa
دراسة منهجية لعمل أو مختارات من النصوص تمثل أحد أهم اتجاهات القرن الثامن عشر.
- Enseignant: Nashwa ATTIA
دراسة لأهم الثورات فى التاريخ المصرى.
- Enseignant: Hala Foda